les fondus de la raclette, je fonds

super raclette et la raclette totale @ les fondus de la raclette, paris 11ème

coincée à paris mais quand même envie de mon petit coin de montagne avec fromage, patate et charcuterie, les fondus de la raclette est tombé à point nommé. passé la porte, on se retrouve dans un petit chalet en bois et à peine assis les klaxons de l'avenue parmentier semblent déjà très loin.

café bonne bière, bonne chère

 gigot de sept heure, grain de pommes ratte reblochon et lard @café bonne bière, paris 11ème

depuis sa récente reprise, l'anciennement nommé phare du canal est devenu - ou plutôt redevenu - le café bonne bière. ancien spot du petit expresso du matin car situé juste en bas de ma demeure, une question restait jusque là sans réponse: est ce mieux qu'avant? nous nous sommes donc arrêtés à la bonne bière un peu avant midi le 24 décembre en quête d'un shot de caféine après un réveil très matinal et une course effrénée aux cadeaux - très en retard. le café y est meilleur qu'avant, très fort et c'est comme ça que je l'aime, mais n'étant pas devenue blog barista, je vais vous parler de la carte par laquelle nous nous sommes laissé tenter.

le comptoir du relais, yves camdeborde à odéon

 faux filet de chez hugo desnoyer et poitrine de veau braisée @ le comptoir du relais, paris 6ème

petit repas de pré-noël avec monsieur. après avoir appris ce qu'on mange chez une famille polonaise pour la veille de noël, il a comme eu une subite envie de se remplir la panse à une table bien franco-française. une fois n'est pas coutume, nous traversons la seine pour nous aventurer rive gauche pour atterrir chez yves camdeborde au comptoir du relais dans le quartier de l'odéon.

le croinut, la version parisienne du cronut

le croinut @ the hot dog corner, paris 1er

le cronut arrive à paris! enfin, plutôt sa version française le croinut. petite piqûre de rappel pour ceux qui débarquent, le cronut c'est LA folie bouffe de l'année: un gâteau mi donut mi croissant, créé par dominique ansel, un pâtissier français installé à new york. la pâtisserie a connu et connait toujours un engouement de malade: des kilomètres de queue devant la boutique de soho tous les jours, un nombre limité de cronut par personne, une bataille juridique car le mot cronut a été déposé pour éviter les copies.... et j'en passe.
alors, certes je trouve ça un peu flippant comme phénomène, mais intriguant en même temps parce que pour que des gens traversent un continent et fassent 4h de queue pour un croissant, c'est qu'il doit sacrément envoyer du pâté. du coup, quand l'enseigne the hot dog corner a lancé sa version du cronut à paris, j'me dis que c'est un peu l'occasion d'y goûter. verdict? c'est vraiment pile entre un donut et un croissant, et c'est quand même vachement bon. un peu déçue qu'il n'y ai pas de glaçage ni de fourrage comme dans la version originale, mais il faut dire que c'est assez réussi.

tout est bon dans le cochon

planche de fromages et cochonnaille

des zamis, une bonne bouteille de bourgogne, de la charcut, du fromage et vouala, que demander de plus? l'apéro typique qu'on prend en terrasse mais en mode à la maison, l'avantage c'est qu'on peut avoir tout ça en étant blotti dans le canapé, bien au chaud. pour le détail qui tue, les mignonettes petites bougies en forme de bouteille de pinard.

les parigots, on y go go go

 camembert rôti au miel et noix de pécan @ les parigots, paris 10ème

sortie improvisée en ce dimanche soir hivernal. 22h, peu de monde dans les rues, recherche active d'un resto... "truc? oui, mais c'est trop loin et il fait froid. bidule? non, c'est fermé le dimanche.... AAAAH. mais tu te souviens, on nous avait dit que les parigots, juste à côté, c'était bien." en effet, c'est juste à côté, donc allons voir, ça mange pas de pain - même si je voudrais bien manger autre chose parce qu'à ce stade de l'histoire, je commence à avoir sérieusement la dalle. à l'entrée, ça fume des clopes en terrasse, à l'intérieur ça trinque, ça rit. doux contraste avec la rue glaciale, on se dit qu'on a trouvé notre table pour ce soir.

le plein soleil, ze côte de boeuf

 côte de boeuf individuelle @ le plein soleil, paris 11ème

le meilleur rapport qualité prix de la capitale pour les amateurs de viande! côte de boeuf individuelle de 700g avec deux garnitures au choix pour seulement 22 euros. non seulement la quantité est là, mais la qualité aussi, il s'agit de viande de boucher venant directement de rungis. même si elle est la star de la carte il n'y a pas que la côte de boeuf côté viandes sur la carte du plein soleil: pavé de boeuf rossini, entrecôte et pavé de veau aux morilles ne manquent pas à l'appel. le paradis des carnivores!

la popotte dépote

porc au caramel et carottes à la crème

vous l'aurez peut-être déjà compris à ce stade du blog, quand je cuisine à la maison, c'est vraiment de la cuisine du placard. j'aurais du mal à simplement ouvrir une conserve de haricots verts et roulez jeunesse, mais en même temps à la maison je ne vais pas chercher des produits nobles, je laisse ça au resto.

ici, nous sommes face à un plat pour deux personnes spécial crise je dirais. je m'explique: pour réaliser ce porc au caramel accompagné de ses carottes à la crème, j'ai acheté 1 kg de carottes à 0.99€, 2 morceaux d'échine de porc à 2.80€, un pot de crème épaisse à 1.39€ et j'estime les assaisonnements à 2€ maximum en tout, soit un total de 3.59€ par personne. on peut encore diminuer en remplaçant les carottes par du riz blanc *plus-radin-plus-malin* ou enlever la crème pour que ça soit moins riche.

le pain quotidien, notre pain de ce jour

 merveilleux @ le pain quotidien, paris 1er

pause gourmande au pain quotidien rue des petits champs. plus besoin de présenter ces restaurants/salons de thé où tu as envie de commander ab-so-lu-ment tout sur la carte. ça commence par les petits gâteaux en vitrine, ça passe par les petits plats cuisinés et bio, et ça termine par le coin épicerie où on laisserait bien son salaire! une adresse idéale pour se réchauffer en ces froides après midi d'hiver, en plus, à cette période de la journée, les boutiques ne sont pas trop prises d’assaut et on peu s'y poser tranquillement et profiter du wifi. bon plan pour ceux qui ne bossent pas qu'au bureau!

le p'tit seau de tendres croustillants / battle food #13

 le p'tit seau de tendres croustillants / battle food #13

l'essentiel c'est de participer, comme dirait l'autre. du coup, je me lance dans mon premier concours culinaire inter blogs. le principe est simple, un thème est lancé et hop il faut réaliser une recette correspondante que l'on poste sur sa page le jour demandé. tout est expliqué en détail ici.
le thème du moment c'est les panés croustillants. alors pour moi quand on me dit ça, ça fait tout de suite tilt dans ma ptite tête, et des images de county fair du fin fond de la caroline du nord me reviennent illico presto. fyi, les fairs, ce sont de sorte de fête foraines à l'américaine où tout ce que tu peux trouver à grailler est frit. comme je crois que ce côté de l'atlantique n'est pas encore prêt pour des oreos frits, du beurre frit ou des cheeseburger frits (OUI VOUS AVEZ BIEN LU), je me suis contenté du fameux fried chicken qui est quand même un pur régal quand le poulet est bien tendre au milieu et bien croustillant à l'extérieur. du coup, en piste pour le recette du p'tit seau de tendres croustillants version française du bucket de crispy tenders.

oh oh!

calendrier kinder

bientôt noël les zamours. cette période on l'aime ou pas, mais on ne peut pas nier, c'est une période difficile pour le tour de taille des gourmands, et ça commence TRES bientôt avec les chocolats du calendrier de l'avent. alors merci à ma mamounette pour ce calendrier kinder, elle qui sait qu'au font je suis restée une grande enfant. my momma is da best!

mac & cheese

mac & cheese à la maison

la comfort food, ça s'appelle pas comme ça pour rien. c'est le genre de plat qui te réchauffe le corps et le coeur en ces froides journées automnales.

indiana café, I'm going back to indiana now

mini burgers @ indiana café sébastopol, paris 3ème

je vous vois pousser des grands OOOHH et des grands AAAAH. oui, je met une photo d'un plat venant d'un INDIANA CAFE sur mon blog, et j'assume. bien sûr, je ne vais pas prétendre que c'est de la gastronomie, ni chercher à comparer cette chaîne aux autres restos présents sur mon blog, mais il n'empêche que quand on sait pas où aller, au moins chez indiana, on sait à quoi s'attendre. c'est industriel, je sais. le service est non professionnel, je sais. mais bon, j'avoue, j'aime aussi la malbouffe, et il m'arrive d'aller manger au celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom (allez si, je tente: le macdonald's), et d'aimer ça. pour vous dire toute la vérité, ce cliché a été pris au sortir d'un autre restaurant à éviter quand je mourrais juste de faim en sortant de table, et que moi le ventre vide, je suis insupportable. question de survie donc.

les pingouins

rôti de porc sauce normande, purée @ le bistrot des pingouins, paris 14ème

petite halte déj du côté de denfert rochereau au bistrot des pingouins. petit bistrot sympathique du côté le moins agité de la rue daguerre, qui propose une formule du jour intéressante: plat du jour avec entrée ou dessert pour 15 euros avec de bons produits dans l'assiette. pour manger à la carte c'est quand même beaucoup moins abordable - autour de 17 euros le plat, mais le fait-maison est un gros plus. côté ambiance, si vous avez moins de 60 ans, il faudra repasser, le bistro semble s'être arrêté dans le temps... en bref, c'est pas mal mais ça casse pas trois pattes à un pingouin.

c'est malin, c'est gourmand

une grappe de raisins blonds qui commence à faire un peu la gueule dans la panière à fruits, que cela ne tienne, vous terminerez en gratin mes chéris! la bonne nouvelle c'est que ça marche avec tous les fruits possibles et imaginables, et on a tous de quoi les recycler dans notre placard. il suffit mélanger 20cl de crème liquide avec un sachet de sucre vanillé et 2 jaunes d’œuf. on nappe les fruits de cette crème dans des petits plats allant au four (comme mes mini cocotttes crô mignonnes) et PAF, ça fait pas des chocapics mais un super dessert rapidos et qui permet de ne pas jeter les fruits un peu borderline. en plus, selon tes goûts tu peux rajouter de la cannelle ou autre. c'est malin, c'est gourmand comme dirait l'autre.

apéro

figues de solliès au crottin de chèvre, amandes concassées

rien de plus simple pour l'apéro et effet wahou garanti: couper les figues et le crottin en lamelles puis les monter en mille feuille en reconstituant la figue, mettre deux petits piques en bois pour tenir tout ça et couper en deux! ça marche aussi avec du foie gras .... petite idée en passant à l'approche des fêtes de fin d'année!

titi parisien

faux filet sauce béarnaise et mac&cheese @ le parisien, paris 3ème

petit stop diner au parisien, dernier né de la clique du floréal et de chez jeannette. beaucoup plus petit, plus cosy et donc moins impersonnel, mais déco toujours aussi travaillée et tendance. tout l'intérêt du resto est dans le grand comptoir central donnant sur cuisine semi-ouverte, c'est donc là que nous avons décidé de manger. dans l'assiette, ce sera faux filet sauce béarnaise avec mac and cheese en garniture. la viande est très bonne, bien cuite et généreuse. mais j'ai eu un véritable coup de foudre pour les mac and cheese du parisien: tellement crémeux que je pense ne vouloir me nourrir que de ça jusqu'à la fin de mes jours!
en un mot je retournerai volontiers au parisien goûter le reste de leur carte si tout est à la hauteur de ce que j'y ai mangé hier soir! le seul bémol de l'endroit est la terrasse qui n'est pas franchement idéale exposée à cette rue saint martin toujours bloquée par les bouchons: une belle affaire de comptoir d'hiver donc!

à la recherche tu temps perdu

pain perdu

le dessert idéal en ce temps de crise / froid / déprime. une vieille baguette, des oeufs, du lait, de la vanille et des litres de sirop d'érable: le tour est joué. allez, c'est parti pour les kilos de l'hiver!

le belmont, échec et mat.

 pizza italiana, empanadas, tartare de saumon, croustillant de chèvre @ le belmont, paris 2ème

autant vous dire, je vous mets dans l'ambiance tout de suite. quand on fait beaucoup de restos, il a des moment où forcément on tombe sur des gros flops. vous savez ce genre de resto où vous pensez y passer une bonne soirée en restant des heures à table en refaisant le monde digeo sur digeo, et qu'au final vous prenez vos jambes à votre cou juste après l'entrée en ressortant de table à 21h, affamé et déçu? vous voyez? et bien c'est exactement ce que j'ai vécu au belmont.

frenchie to go, french kiss

 pulled pork sandwich @ frenchie to go, paris 2ème

la folie deli a encore frappé. j'avais déjà testé le freddie, c'était forcément au tour du frenchie. ça commence bien, déco chaleureuse et lumineuse avec manges-debout, grande baies vitrées et cuisine ouverte, en un mot: très accueillant. la carte est alléchante, et surtout moi qui suis habituée à manger à n'importe quelle heure, on m'annonce breakfast all day, je suis ravie.

FFF fast food forever

burger t shirt @ sayfat
food is everywhere. j'avais fait les boucles d'oreille cerise et le collier de pâtes, mais aujourd'hui grâce à sayfat je passe au level au dessus: le t shirt burger.

la fronde, pilier de comptoir

 accras de morue à l'haïtienne, oeuf meurette @ la fronde, paris 4ème

mode tapas au comptoir.

quartino, al taglio

pizza à la coupe @ quartino, paris 4ème

pizza al taglio dans le marais, sur place ou à emporter, tombée dessus par hasard rue rambuteau: un pur délice. pizza jambon blanc, fromage crémeux coulant, noix.... j'en salive rien que d'y repenser, j'y retournerai, pour sûr.

charlotte à la framboise

 là on passe aux choses sérieuses. la charlotte à la framboise, c'est littéralement LE dessert qui m'a toujours fait peur, ça m'a toujours paru suuuuuper dur à faire.mais bon c'est aussi le dessert préféré de monsieur, alors je me suis lancée, et ça a plutôt bien marché, la preuve en images.

constant craving

en cas: tartine de dentelle de filet de poulet, bleu et figues, et oui c'est enfin la saison!

le gâteau de la feignasse

 je vous présente la solution impec à cette vague d'hiver qui s'abat en traître sur nous depuis hier et qui nous donne envie de gras et de sucré sans trop bouger nos fesses de notre canapé. même si vous n'avez pas grand chose dans vos placards et que vous avez une subite envie de chocolat devant une redif d'NCIS, la réponse à vos problèmes existe et elle s'appelle le mug cake. repéré il y a peu sur un blog américain, car oui forcément tout ce qui rend le grignotage encore plus easy vient des states, le mug cake est un gâteau qui se prépare comme son nom l'indique dans un mug, mais surtout qui se prépare en moins de trois minutes, et ça, c'est amaziiiiiing.

le café du temple, bon point de chute vers répu

 café gourmand @ le café du temple, paris 11ème

le café du temple c'est le bon point de chute vers la place de la république du côté du 11ème. la brasserie est bien située et sort vraiment du lot par rapport aux autres rades de la rue faubourg du temple. un endroit sympa pour boire un verre en terrasse - seulement l'été car sinon elle n'est pas chauffée, mais j'y vais surtout pour déjeuner quand je suis dans le quartier. la carte est sympa, les plats du jours sont originaux, la cuisine maison, et le rapport qualité/prix correct, mais surtout c'est à mon sens, la seule adresse valable de ce côté de la place si on ne veut pas aller trop loin.

le carlie, les copaings d'abord

planche mixte @ le carlie, paris 3ème

il a du nouveau rue saint martin, carole et charlie viennent d'ouvrir le carlie après deux long mois de travaux. le côté novateur de l'endroit c'est qu'il a été financé par les internautes sur une plateforme qui permet d'échanger des dons contre des apéros au carlie. verdict, l'endroit est réussi, c'est chaleureux, convivial, à l'image des deux hôtes hyper souriants. le carlie c'est une bonne bouffée d'air frais, un bar qui change, avec des produits que l'on trouve nulle part ailleurs.

je crois en mon bon génie

 vanille noix de pécan, citron yuzu, rouge framboise, chocolat grand cru, passion framboise, caramel beurre salé @ l'éclair de génie, paris 4ème

l'éclair, un classique français et un vrai défi de pâtissier pour qu'il soit réussi. christophe adam sort des traditions dans sa boutique du marais et propose de nouveaux parfums tels que citron yuzu composé de crème citron, glaçage yuzu et meringue suisse, ou encore le caramel pop corn avec sa crème caramel beurre salé, un caramel fondant et des pop corn caramélisés. la réputation de ce pâtissier et de sa boutique ne sont plus à faire. une confirmation de plus dans ce billet: un vrai régal. si je devais faire trois vœux auprès de ce génie de l'éclair, je dirais: vanille noix de pécan, caramel beurre salé et passion framboise.

camille, ma nouvelle copine

piccata de veau à la crème de cèpes, purée maison @ chez camille, paris 4ème

quand on travaille de nuit, avec des repos décalés, et bien il se trouve qu'on a souvent envie de déjeuner vers 14 ou 15h. toujours le même problème, on a beau habiter dans une des plus grandes capitales du monde, c'est toujours un problème à paris pour trouver un resto qui serve en continu en semaine. quand en plus, on veut bien manger, c'est un peu la croix et la bannière. après plusieurs "non désolé la cuisine vient de fermer", c'est camille qui nous ouvre les bras. petit bistrot rue des francs bourgeois dans le marais, plats simples à l'ardoise et terrasse remplie d'assiettes même à 15h30, c'est très bon signe.

la pâtisserie, se prendre une tarte

 équinoxe - entremet vanille bourbon, caramel beurre salé, speculoos - et tarte myrtille cassis @ la pâtisserie by cyril lignac, paris 11ème

petite pause gourmande du côté de charonne à la pâtisserie de cyril llignac. cadre blanc, péuré, et gâteaux bien alignés.un chouilla trop aseptisé. dans notre boîte: l'équinoxe, un entremet à la vanille avec un coeur coulant au caramel beurre salé et un pâte croustillante au speculoos. plutôt réussi, la crème à la vanille est une tuerie, mais dans l'ensemble un peu trop sucré à mon goût. par contre la tartelette au cassis et à la myrtille est un vrai sans faute, j'en mangerai bien trois d'affilée. oui oui, même pas peur, j'vous prends au défi quand vous voulez. j'y retournai à l'occasion quand je serais dans le quartier, notamment pour essayer la religieuse framboise chocolat qui me faisait de l'oeil, petite coquine. petit regret, j'aurais bien aimé pouvoir déguster les gâteaux sur place.

la fronde, la nouvelle adresse du marais

moelleux au chocolat et glace vanille @ la fronde, paris 4ème

après un article précédent peu détaillé, on va maintenant rentrer enfin dans le vif du sujet. la fronde au carrefour de la rue des archives et des blancs manteaux vient donc de rouvrir après deux gros mois de travaux, faut dire qu'il y avait à faire! ravalement de façade pour le resto, mais aussi pour la carte: fini lasagnes et tables bancales, place à une carte plus complète et à un mobilier dans l'air du temps.

la fronde

 oeuf poché meurette / bufala et tomates anciennes @ la fronde, paris 4ème

ça y est la fronde, rue des archives, a rouvert après deux mois de travaux. c'est tout beau, tout neuf, avec une carte un peu plus élaborée qu'avant!

il est de retour!

le big tasty, et sa délicieuse sauce goût grillée ... mon péché malbouffe, il est de retour! oui oui, je sais, le macdo c'est le maaaaaal mais on craque tous de temps en temps.

le suffren, pour la rentrée je révise mes classiques

 médaillons de veau, sauce aux cèpes et gratin dauphinois @ le suffen, paris 15ème

le suffren, LA brasserie de la motte picquet. celle où je vais tout le temps quand je me retrouve dans ce quartier. pourtant ça grouille de restos dans le coin, mais au suffren, c'est tout simplement bon, le service et l'accueil impeccables et le la grande terrasse très sympa. c'est simple, mais depuis qu'une amie m'a emmenée là bas, le suffren est rentré dans mon top des meilleures brasseries de la capitale.

le perchoir, the roof is on fire

rosé @ le perchoir, paris 11ème

dans la famille tout le monde en parle, ze place to be et nouvelle terrasse panoramique, je demande le perchoir. oui, je vous met au défi de lâcher ce nom dans n'importe quelle conversation et vous aurez automatiquement droit à des réactions du type: "aaaaah mais oui, je voudrais trop y aller, chloé m'en a parlé, ça à l'air trop cooooool", ou bien: "ouais j'y suis allé, mais c'était avant que ce soit ouvert à tout le monde", et encore: "j'ai voulu y aller mais y'avait trop de monde, j'ai pas pu monter". enfin moi c'est ce que j'entends tous les jours, faut dire que j'habite dans le quartier.

j'ai 4 ans

oreos et verre de lait

devant toy story 3 un jeudi soir. ma vie est absolument fa-sci-nante.

cuisine des restes pas en reste

pasta au pesto: fusilli et macaroni au pesto, asperges, roquette et parmesan.

cuisine des restes pour un dej devant la télé. yum.

les tablées de vacances

filet de mignon au miel, salade d'endives

le plat fétiche de mon père, accompagné d'un petit verre de chianti, sur un terrasse de vendée. petit parfum de vacances avant de partir travailler.

freddie's deli, deli...cieux?

freddy from philly @ freddie's deli, paris 11ème

la folie des deli à l'américaine s'empare de paris. je suis donc allée tester la nouvelle adresse fixe du camion qui fume, dans le onzième. par chance, malgré le service continu du week-end, je pense que les parisiens ne sont pas tous rentrés dans la capitale car la boutique était déserte. située dans une rue peu passante, on se demande si on ne s'est pas complètement trompé de chemin jusqu'à ce que des effluves de philly cheesesteak nous forcent à renoncer à rebrousser chemin.

les puces des batignolles, la puce à l'oreille

 rôti de lotte au bacon, risotto aux asperges @ les puces des batignolles, paris 17ème

en demandant presque l'impossible, nous étions à la recherche d'un bon restaurant, servant à déjeuner à 16h, un 13 août dans le quartier des batignolles. mission quasi impossible me direz vous. parce que oui, nous sommes à paris, grande capitale internationale, mais au mois d'août, la ville arrête de vivre, et manger hors des horaires de repas à toujours été une grande galère. par chance nous sommes tombés sur les puces des batignolles, dans un quartier comme déserté par le genre humain parti se ruer sur les plages de la côte, nous avons pu passer un très agréable repas en plein après midi, sous le soleil parisien.

antan la belle épque, la douce époque

filet bœuf et on foie gras poêlé, purée de carottes et frites @ antan la belle époque, talmont saint hilaire (85)

aaaah antan la belle époque, LE resto du port de bourgenay où je passe mes vacances depuis des années.... que ce soit côté resto ou côté crêperie, on mange très bien à la belle époque, et le rapport qualité/prix vaut vraiment le coup, ce qui est appréciable dans un resto de vacances où souvent au mois d'août, qu'on se le dise, c'est cher, dégueulasse et blindé (oui, c'est triste quand même).

flow, voies sur berge

burger @ flow, paris 7ème

enfin une petite visite du côté des voies sur berges où les terrasses poussent comme des champignons depuis leur fermeture en faveur des piétons. et qui dit terrasse, dit resto! petite déception en regardant les cartes déjà: du snack, des tapas et du foodtruck... pas de vraie restauration, dommage!
comme il est 16h et qu'on a pas mangé de la journée - en gros on crève de faim, on se rabat sur la terrasse de flow qui propose burger, bagels et salades.

je deviens chèvre

ma version de la chèvre chaud -  rondelle de bûche de chèvre au miel et herbes de provence sur toast au pain de campagne, figues, cerneaux de noix, filets de poulet froid, raisins blonds, vinaigrette à la moutarde à l'ancienne, crème de balsamique.

la version de la chèvre chaud comme je voudrais la trouver au resto. on a tous remarqué, souvent les salades c'est de la carotte - beaucoup de salade verte, peu du reste, pas vrai?

la mousse au chocolat ultime

ma mousse au chocolat

la mousse au chocolat, c'est comme les crêpes ou le gâteau au yaourt, on a tous notre recette fétiche que l'on tient de notre grand-mère ou de la grande sœur de la meilleure amie de notre cousine. mais combien en avez vous goûté et combien vous on laissé un souvenir impérissable?

chez françoise, un classique

 quasi de veau français, gratin de courgettes et ossau iraty @ chez françoise, paris 7ème

chez françoise, un classique. restau caché sous l'aérogare des invalides, on ne passe pas devant par hasard, il faut connaître et y réserver pour avoir un table. même si l'adresse est cachée, elle est loin d'être secrète et c'est toujours plein. en même temps il n'y a rien à redire, les années passent et chez françoise tout est toujours aussi parfait: service professionnel et rapide, plats de très bonne qualité, rapport qualité prix au rendez vous. sans oublier le superbe cadre qui contraste avec la gare des invalides - surtout si on arrive du côté rer. une des terrasses les plus agréables en été et un espace cosy et chic l'hiver. je recommande sans modération pour un repas d'occasion: en famille, entre amis, en amoureux ou pour affaires!
[+ d'avis sur cityvox et tripadvisor]

à taaaaaaaable!

 tartare de thon rouge aux fruits rouges et aux baies @ table, paris 12ème

des semaines qu'on entend parler du nouveau restaurant sobrement intitulé table, celui de bruno verjus, journaliste gastronomique passé de l'autre côté de l'assiette. un bouleversement dans le quartier, résidentiel du 12ème et rue extrêmement calme. du coup ça intrigue les habitants du quartier qui étaient habitués à trouver uniquement les caves de prague ouvertes dans le coin. pourtant, chez table, c'est plein, un mardi soir en plein mois de juillet. par chance il reste une table non réservée en terrasse, ce qui m'a permis de me faire ma propre idée sur le resto qui affole la blogosphère.

yup yup yuppies!

salade frenchy: demi camembert pané, jambon cru, pommes grenailles, amandes effilées @ le yuppies café, paris 17ème

déjeuner dans le quartier de l'étoile et des champs à l'ombre de la terrasse du yuppies café. un cadre sympa, plus simple et moins prétentieux que ses voisins de ce quartier chic et touristique. autre indicateur positif, ça parle majoritairement français en terrasse, dans ce quartier en plein mois de juillet ça signifie repaire de locaux: bon signe!

cet été, paris-brest à partir de 4,70€ !

glace paris-brest @ la pâtisserie des rêves, paris 6ème

je suis allée tester LA glace dont le tout paris parle en cet été qui s'est enfin installé sur la capitale, il s'agit de la version glace du paris brest par philippe conticini de la pâtisserie des rêves. tous les blogs, magazines et autres newsletter s'affolent pour cette crème glacée, alors vaut elle vraiment tout ce tapage? verdict: c'est excellent et ça change vraiment des autres glaces que l'on a déjà l'habitude de manger. un petit plaisir qui vaut l'attente à l'entrée de la boutique. au passage, j'ai fait la découverte de merveilleuses pâtisseries qui vendent du rêve. je reviendrai goûter la tarte aux fruits noirs, le flan vanille, le saint-honoré ou encore le paris-brest, version traditionnelle cette fois ci.

philou fait son filou

 tartare de canard, pastèque et mozzarella @ chez philou, paris 11ème